Attribuer une adresse IP fixe au Raspberry
Pour commencer, le Raspberry Pi étant déjà connecté en wifi (au moyen d’une adresse attribuée dynamiquement par la Freebox), il convient de récupérer son adresse MAC au moyen de la commande cat /sys/class/net/wlan0/address . S’il est connecté au moyen d’un câble Ethernet, il convient de remplacer wlan0 par eth0 dans la commande.
Je suis le tuto de supertos.free.fr.
Sur le Web, je vais sur la page de gestion de la Freebox (il s’agit d’une V5). Dans la rubrique Configurer mon routeur Freebox, sous-rubrique Redirections/Baux DHCP, tout en bas, j’ajoute un bail permanent : une adresse IP (192.168.0.51) en face de l’adresse MAC du Pi et je sauve ces paramètres après avoir cliqué sur le bouton « + » correspondant à ce bail. J’ai perdu du temps à cause de cet oubli : mes paramètres ne restaient pas en mémoire sur le serveur de Free. Après un reboot de ma Freebox, l’adresse fixe est attribuée au Raspberry.
Montage/démontage d’une clé USB
Je suis un tuto sur le site Wiki Debian. La clé USB étant branché sur le Raspberry Pi, il convient de trouver le nom du périphérique sous lequel elle est connue. La commande dmesg permet de le faire. Je lis sda. En tant que super utilisateur, je crée le répertoire /mnt/cle (sudo mkdir /mnt/cle). NB : il n’est pas nécessaire de le recréer à chaque montage. Puis, je réalise le montage au moyen de sudo mount /dev/sda /mnt/cle .
Pour démonter la clé, il convient d’utiliser la commande sudo umount /mnt/cle . En cas de refus du système, on peut forcer le démontage en utilisant : sudo umount -l /mnt/cle. Plus tard, je note que lorsque je suis en mode graphique, la clé se monte toute seule dans le répertoire /media/pi/<nom de la clé>. Pour démonter proprement la clé, j’entre sudo umount -l /media/pi/<nom de la clé> en ligne de commande.
Configuration de Nano
J’étais gêné par la couleur bleue de la majorité des caractères lors de l’édition d’un fichier HTML. Nano se paramètre au moyen du fichier /etc/nanorc . Dans ce fichier, on peut lire qu’il fait appel au fichier /usr/share/nano/html.nanorc pour ce qui concerne le HTML. Il suffit d’éditer ce dernier et de remplacer la couleur bleue par une autre couleur.
Choix d’un éditeur de texte plus performant que Nano
Il s’agit de trouver un éditeur orienté programmation. Nano ne l’est pas. Mon cours de HTML et CSS recommande Sublime text. Il s’agit d’un shareware dont la version Linux ne semble pas tourner sur processeur ARM (celui du Raspberry) mais seulement sur processeur Intel (PC).
Un site propose Geany. Il dispose d’une interface graphique, permet l’ajout de plugins. Pour toutes ces raisons, il serait une bonne alternative à Sublime Text qui semble la référence des développeurs sur d’autres plateformes. Les instructions pour son installation sont ici. En fait, Geany était déjà installé sur mon Raspberry. Je le trouve dans l’arborescence du menu, sous la rubrique Programmation.